mercredi, mars 07, 2007

Après les migrations, l'oiseau revient au nid...

Il arrive de temps à autres que l'on retombe sur un vieux tas de papiers, de photos ou de souvenirs oubliés dans un coin. Ce qui était enfoui dans la mémoire remonte alors brutalement à la surface et les souvenirs reviennent avec leurs cortèges de désirs, d'espoirs et de regrets.

Une nostalgie douce amère envahit alors le corps et ces vieux jouets cassés reprennent vie le temps d'un rêve.

C'est par hasard que j'ai retrouvé ce vieux signet qui pointait sur mon blog. C'est par ennui que j'ai cliqué dessus. Et c'est par envie que j'y suis resté à relire mes élucubrations passées.

L'année 2007 est déjà bien entamée et le printemps précoce est déjà là. Il reverra finalement refleurir mon blog, ce vieil arbre que l'on croyait mort. J'ai volé ici et là pendant ces quelques mois d'absence, une surcharge de stress et de travail a occupé ma cervelle de moineau. Mais les vents ont fini par me porter à nouveau sur cette branche douillette.

Ce qui va changer sur le blog, peut être moins de divagations et de masturbation intellectuelle pour trouver de grandes vérités dans des tranches de vie sommes toutes banales. Peut être plus de parapente, vu que cette activité ma passionne décidément. Mais surtout maintenant, j'essaierais d'assumer mon égocentrisme et la publication d'un journal intime sur la vaste toile.

Voilà donc venue la fin de mon anonymat numérique.

Je vais donc finir par me présenter un peu plus concrètement. Je m'appelle Thibaud, je suis un doux rêveur infantile et lunatique. Même si je me plais à dire que j'ai vingt ans et quelques, force m'est de constater que dans moins d'un mois je passerais le cap (que dis-je c'est une péninsule) de la trentaine. Je bosse dans l'informatique, plus par opportunité et facilité que par vocation. Mon métier m'intéresse mais ne me passionne pas. Par contre, la qualité de vie que j'en retire me permet de vivre ma passion pour la montagne.

J'habite à Grenoble depuis maintenant plus de 5 ans et j'aurais du mal à quitter ces alpes qui me sont devenues familières.

Donc me voilà, back on line…

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